Condensation de chauffage au gaz

Lorsqu'un appareil à gaz est allumé pour la première fois, le conduit est froid, il absorbe donc la chaleur des gaz de combustion, les refroidit en dessous de leur point de rosée et provoque ainsi une condensation à l'intérieur du conduit avant que les gaz de combustion ne soient expulsés.

La condensation coule à l'intérieur du conduit de fumée, où une petite quantité sera réchauffée et évaporée. Ce cycle se poursuit jusqu'à ce que la cheminée se réchauffe à la température de fonctionnement normale, puis la condensation devrait cesser de se former.

Si la température des gaz de combustion est trop basse au départ, ou si la perte de chaleur par le conduit de fumée est trop importante, la condensation continuera à se former à l'intérieur du conduit de fumée. Si un joint de cheminée est fait dans le mauvais sens, la condensation peut attaquer et pénétrer le composé d'étanchéité et fuir à travers le joint.

Dans un conduit de sécheresse naturel, une condensation excessive s'écoule des déviateurs de sécheresse, causant des dégâts d'eau. Les appareils de sécheresse naturelle ont généralement des apports de chaleur fixes. Si la condensation persiste après que le conduit s'est réchauffé à la température de fonctionnement, vous devez isoler le conduit pour réduire la perte de chaleur.

Dans les conduits de sécheresse forcée, une condensation excessive retourne dans la chambre de combustion et peut interférer avec la combustion. L'isolation du conduit de fumée réduira les pertes de chaleur, mais il est également possible d'élever la température des gaz de combustion au-dessus du point de rosée en brûlant plus de gaz combustible. Ce réglage ne doit pas entraîner une combustion incomplète ou un mauvais rendement thermique ; l'appareil ne doit pas non plus être rendu trop coûteux à faire fonctionner. Bon à garder à l'esprit lorsque vous chauffez votre maison. Un simple service de gaz peut être fait pour vous préparer au long hiver à venir.